Aidez à prévoir l’avenir avec Future Scanner

décembre 18, 2007

J’évoquais récemment un service de « prediction market » tourné vers la géopolitique. Dans les commentaires de ce billet Marc Tirel me faisait découvrir la version francophone de l’excellent Newsfuture. Je tombe aujourd’hui sur un nouveau service similaire baptisé Future Scanner.
Pas si similaire que cela en fait (sinon je n’en parlerai pas) puisqu’il propose des pronostics à long terme (jusqu’à 2020 et plus).
Ce service scanne le web (d’où son nom) pour y récupérer des éléments tirés de sites ou blogs orientés vers la compréhension du futur et la prospective : prédictions d’experts, découvertes scientifiques, tendances technologiques, enfin tout ce qui est susceptible d’impacter le futur. Il classe ensuite ces éléments par thèmes et année de réalisation potentielle et les soumet aux paris des internautes. Il est possible de croiser les critères afin de filtrer les types de prédictions que l’on souhaite obtenir.
Lorsqu’on voit les taux d’exactitude de ce type de services on se dit qu’il serait dommage de ne pas plus les fréquenter.

Une autre ressource sur et pour les blogs touristiques

décembre 18, 2007

l s’agit du White Paper de Cyber Strat qui s’adresse aux responsables des établissements touristiques de petite taille : les hébergeurs, les hôteliers et restaurateurs, les responsables de chaînes de gîtes et maisons d’hôtes, également les agences de publicité, les étudiants en tourisme.

 

Sont abordées les thématiques suivantes :

* Comment se présente un blog ?  

* Quelques caractéristiques d’un blog

* Un blog est un moyen de publier sur le Net à bon compte

* Un blog c’est facile et rapide à créer

* Un blog est une base de conversation


* Un blog génère du trafic sur les sites web

* Les blogs touristiques

* 10 étapes pour créer un blog

* Comment structurer votre blog ?

* Témoignage d’un petit hébergeur : le blog de la Maison de Beaurevoir qui vient de gagner le prix du blog touristique 2007 à l’occasion des 2ème rencontres du blog d’expression locale à Alançon.

Des jeux partout

décembre 18, 2007

La société Webs.com est en train de remporter un succès qui ferait rêver n’importe quelle start-up. Plus d’un milliard de pages vues depuis août. Son secret ? La conception de jeux sur Facebook. Une nouvelle génération de créations ludiques, placées sous le signe du “jeu social” (Social Gaming Networks, SGN, est d’ailleurs le nom de la filiale de Webs.com consacrée au jeu).

Pourtant, ces produits ne sont pas d’une sophistication extrême, c’est le moins qu’on puisse dire. Voici comment le Mercury News décrit l’un d’entre eux :
“Street Race est un nouveau jeu de chez SGN qui ne possède aucun graphique” (en fait, il y a quelques dessins et animations flash, mais ces illustrations remplissent un rôle uniquement décoratif – NDT). “En souscrivant, vous obtenez 1000 dollars fictifs pour jouer, achetez une voiture et vous lancez dans la course. Pour effectuer celle-ci, vous cliquez sur le nom d’un autre joueur. Puis il ne se passe rien. Absolument rien. Dans l’écran suivant, vous apprenez si vous avez gagné ou perdu, combien d’argent vous avez acquis ou dépensé, et combien de points d’expérience vous avez accumulés”. Et le social, là dedans ? On peut tout simplement gagner des “dollars” en invitant des amis à jouer…

Street Race n’est pas le seul jeu offert par SGN : on peut aussi mentionner Warbook, une fantaisie médiévale fonctionnant sur les mêmes principes.

streetrace01.jpg streetrace02.jpg

Aussi insignifiants que puisse paraitre ces jeux, ils ont attiré l’attention de Raph Koster, grand concepteur de jeux devant l’Eternel (il est derrière le célèbre Ultima Online et le créateur de la nouvelle technologie de mondes virtuels Metaplace). Ils sont selon lui l’exemple parfait de sa théorie de la conception de jeu “pervasive” (qu’il a baptisé Design for Everywhere) qu’il expose dans une série de slides dont on peut résumer ainsi les points saillants : pour Koster, on se trompe grandement sur la nature des jeux. Ceux-ci ne se limitent pas à l’affichage ou à l’interface. “La conception pervasive a pour but d’éliminer ces deux aspects de l’équation”, explique-t-il. Cela ne veut pas dire qu’il n’existe pas d’interface ou d’affichage, mais que cet “habillage” peut varier et n’intervient qu’en dernier lieu, tout comme un jeu d’échecs peut être réalisé avec des pièces industrielles en plastique ou avec des sculptures en ivoire. Un même jeu peut s’exprimer indifféremment en mode texte, sous la forme d’une animation flash ou d’un univers 3D texturé. Les jeux sont avant tout des grammaires, des modèles. Si l’on sépare ce coeur algorithmique de la couche “habillage”, il devient possible de porter ces structures abstraites sur une multitude de plateformes : ordinateurs, mais aussi mobiles, consoles, etc….C’est d’ailleurs la philosophie de Metaplace, qui peut indifféremment gérer des mondes virtuels 2D, 3D, Flash…

Koster résume ainsi sa pensée :

” La plateforme importante, c’est le net (ce qui signifie n’importe quel appareil).
Le public important est celui des non-joueurs.
L’élément important, ce sont les autres participants.
La technologie importante, c’est la connectivité.
Le jeu important, c’est le mini-jeu.”

On peut être sceptique sur l’avenir à long terme de jeux “minimaux” comme Street Race. Mais ils représentent sans doute une tendance prometteuse, car, en plus de jouer de l’interaction collective que favorisent les réseaux sociaux, le rôle réduit accordé à l’interface permet de baisser fortement les coûts de fabrication. En tout cas, on peut espérer que cela décomplexera de jeunes concepteurs, qui pourront enfin se lancer sur un marché pour l’instant monopolisé par la conception de “blockbusters” nécessitant plusieurs millions d’euros pour leur réalisation…

Les opérateurs publient depuis le 1er octobre des cartes de couverture avec une précision améliorée

décembre 18, 2007

Depuis le 1er octobre, les cartes de couverture que les trois opérateurs publient sur Internet sont conformes à la décision de l’Autorité. Ces cartes sont disponibles aux adresses suivantes :
www.couverture.bouyguestelecom.fr ;
couverture-reseau.orange.fr ;
www.sfr.fr/assistance/reseau-sfr-france.

Elles ont une échelle suffisamment précise pour pouvoir apprécier la couverture de chaque opérateur dans chaque commune.

Atelier Dorkbot Paris, comment détourner les flux des caméras de surveillance sans fil ?

décembre 18, 2007

Les Dorkbots (”people doing strange things with electricity”) sont des événements organisés dans de nombreuses villes et dans de nombreux pays depuis 2000 et ayant pour but de rassembler diverses personnes intéressées par les cultures et les arts électroniques, le détournement technologique, les rapports entre créativité et technologie : artistes, designers, ingénieurs, étudiants, scientifiques, curieux…

Initialement organisé à New York par Douglas Repetto, la formule a rapidement été exportée dans le monde entier : depuis Londres, Gent ou San Francisco jusqu’à Helsinki, Tokyo, Milan, Beijing et même Second Life.

Dorkbot Paris existe depuis janvier 2007, est généralement mensuel et reste pour le moment nomade. Les séances sont ouvertes à tous, et chacun est encouragé à proposer ses travaux à présenter en nous contactant… De plus, chaque séance se termine généralement par un “opendork”, pendant lequel n’importe qui peut présenter rapidement de façon informelle et plus ou moins improvisée ses projets.

La septième édition de Dorkbot Paris a eu lieu durant tout le week-end du 1er et du 2 décembre 2007, pendant le festival “Les Mondes Hors Pistes” qui célèbrait les 10 ans de l’émission Tracks d’Arte : http://www.lesmondeshorspistes.com/.

Lors de cette édition, Karl Otto Von Oertzen et Alexandre Berthier ont proposé un atelier pratique de détournement de caméra de surveillance sans fil (CCTV). En quelques minutes, avec du matériel technique disponible dans le commerce, les deux internvenants ont fait une démonstration saisissante.

Accord de la Commission européenne sur la mesure du crédit d’impôt « jeu vidéo »

décembre 18, 2007

12 décembre 2007 – Accord de la Commission européenne sur la mesure du crédit d’impôt « jeu vidéo »

Aides d’Etat : la Commission européenne autorise un régime d’aides français pour la création de jeux vidéo

Christine Lagarde, ministre de l’Economie, des finances et de l’emploiet Hervé Novelli secrétaire d’Etat chargé des entreprises et du commerce extérieur se félicitent de l’accord de la Commission européenne sur la mesure du crédit d’impôt « jeu vidéo » *, qui permettra à l’industrie française de ce secteur d’accroître sa compétitivité sur la scène mondiale. 30 % des jeux produits en France pourraient ainsi être éligibles au crédit d’’impôt. De nombreux studios indépendants, dont les productions originales entrent dans le champ culturel de la mesure, pourrait également en bénéficier. Ce régime a été autorisé pour une période de 4 ans.

* Décret n° 2007-1579 du 7 novembre 2007 pris pour l’application de l’article 220 duodecies du code général des impôts relatif au crédit d’impôt pour dépenses de distribution de programmes et de formats audiovisuels et modifiant l’annexe III à ce code

Bonjour tout le monde !

décembre 14, 2007

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